« Il existe des solutions non prospectées qu’il faudrait améliorer :
– apprendre à conduire des peuplements avec moins de capital sur pied, moins d’individus qui se partagent une ressource plus maigre ;
– mélanger des essences, parce que le comportement d’un peuplement mené en essence pure n’est pas le même que lorsque ce peuplement est composé d’une, de deux ou de plusieurs autres essences ;
– mener une sylviculture plus dynamique, c’est-à-dire intervenir plus souvent en forêt mais avec moins d’impact ;
– repousser l’âge d’exploitation des arbres afin d’optimiser le prélèvement des matières du sol dans la fabrication d’un bois de qualité ;
– enfin, amender est à tester. »